Mon activité artistique aborde l’inclusion de l’étude des problèmes socio-économiques du néolibéralisme dans la recherche artistique, à travers l’interprétation et l’intervention de documents historiques, sociaux et institutionnels. Son courant favorise dans notre culture contemporaine la libération économique par la privation et la transformation de l’État en un pont technique au profit du secteur privé ; en s’appropriant des concepts pour exécuter ses pratiques émancipatrices, tels que : la langue, l’histoire, la patrie, la post-vérité, etc. Face à ce problème, mon travail propose l’acte de configurer visuellement et textuellement une dialectique, que j’appelle poétique, comme une méthode de résistance. Une altération sémantique des archives pour les placer dans une position critique qui m’a permis de déconstruire toute la rhétorique résultant de la néolibéralisation de l’Amérique latine et d’autres régions.

La résidence de l’artiste péruvien aborde les relations auteur – postmodernisme – néolibéralisme dans le cas de l’architecte Henri Ciriani et du Musée d’Arles Antique.